Le Football, sport né en Angleterre à la fin du XIXe siècle,
peut accessoirement être considéré comme l'ancêtre du Brasiou. Même
si encore pratiqué par de nombreuses nations (la F.I.F.A compte plus
de pays membres que l'O.N.U.) et représenté par des stars internationalement
connues telles que Zidane ou Ronaldo, le football semble aujourd'hui
s'essouffler. En effet, la montée croissante de la pratique du Brasiou
qui semble plus adaptée à notre époque est en train de porter un coup
fatal au football.
Le football va-t-il disparaître ? En effet, ce sport qui a perdu son
âme lors de la Coupe du Monde 2002 dans un continent ou le nombre de
malades atteints de la pneumopathie ne cesse d'augmenter, est aujourd'hui
montré du doigt. Les déboires d'un joueur comme Ronaldo ou les trop
jeunes victimes du championnat italien nous montrent clairement les
limites d'un sport comme le football. Le Brasiou est lui synonyme de
bonheur, il suffit de savoir correctement bouger son corps.
De plus, l'intégration de la composante intellectuelle dans le football
ayant échoué dès le départ (n'oublions pas que ce sont des anglais qui
l'ont crée), de nombreux sportifs ont finalement rejoint la fédération
de Brasiou. La F.I.F.A, instance internationale concurente de l'I.B.F,
ne peut que constater la faible moyenne du Q.I de ses licenciés (2,5
au Phare du Four par grand vent).
D'un point de vue médiatique, Pino,
joueur dont la technique est deux mille cinq cent trente trois fois
supérieure à celle de Platini et Pelé réunis, est rapidement devenue
une star incontournable et admirée en secret par de nombreux joueurs
de football (souvent licenciés, mais nous ne citerons pas les noms puisqu'il
s'agit de Franck Leboeuf).
D'un point de vue vestimentaire, les différences sont également nombreuses
(en faveur du Brasiou, vous aurez vite compris pourquoi) :
Comparatif équipement
Après ce rapide comparatif, le Brasiou apparait bien plus adapté que le football à une époque où la quête du bonheur est devenue un élément essentiel de notre société (Bourdieux n'aurait pas dit mieux).